Un pasteur a écrit :
« Nous avons tous connu la tentation, les épreuves et la
souffrance à un moment donné. Même comme chrétiens et, parfois,
parce que nous sommes croyants, nous devons affronter la douleur
d’une perte, du chômage, de la ruine financière ou de relations
brisées. Si personne n’est immunisé contre les épreuves, le
Saint Esprit accorde aux chrétiens la force de les supporter.
Nous lisons au Psaume 46.11 : « Arrêtez, et sachez que je suis
Dieu. » La réaction idéale aux déceptions est de se confier au
Père céleste.
Cela nous rend humbles de
savoir qu’en tant qu’enfants de Dieu, nous pouvons communiquer
directement avec notre Père, même durant les périodes difficiles.
Nous n’avons pas à réagir aux épreuves comme les gens du monde,
par la colère, la dépression ou la vengeance, pas plus que nous
n’avons à régler toutes les situations grâce à notre force.
Notre chair nous y incitera, mais si nous nous « arrêtons », nous
apprendrons à nous confier de plus en plus en Dieu.
En vérité, les soucis
non seulement façonnent notre caractère, mais le révèlent. L’une
des réactions les plus communes à l’adversité est la colère. Le
cas échéant, nous risquons de prendre impulsivement des décisions
qui pourraient influencer le reste de notre vie. Plutôt que de céder
à l’émotion, arrêtons nous sagement et faisons confiance à
celui qui fait concourir toutes choses à notre bien (Romains 8.28).
Ici bas, nous aurons
toujours des problèmes (Jean 16.33). Quand la tempête se lève,
soyons forts et appuyons nous sur Dieu pour qu’il nous la
fasse traverser. On ne peut véritablement cesser de lutter qu’en
lui seul. »
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