L'écrivain chrétien C.S. Lewis (mort en 1963) affirme qu’on a souvent envie du ciel, mais sans s’en rendre compte.
Il s’explique : "La plupart des gens, s’ils avaient vraiment appris à lire dans leur propre cœur, sauraient qu’ils aspirent très fortement à quelque chose que ce monde ne peut leur donner. Tout ce qui s’offre à nous ici-bas ne tient jamais totalement ses promesses. Nos aspirations, lors de notre premier amour ou d’un projet de visite de pays étrangers, ou lors de l’étude d’un sujet passionnant, ne peuvent se réaliser ni par le mariage, ni par un voyage, ni par la recherche approfondie. (…) L’épouse peut être excellente, les hôtels ou le paysage de toute beauté, et la chimie un travail fort intéressant, nous restons toujours insatisfaits."
Ce que C.S. Lewis dit ici, c’est que même les plus belles joies de ce monde ne parviennent jamais à nous rendre pleinement heureux.
Il s’explique : "La plupart des gens, s’ils avaient vraiment appris à lire dans leur propre cœur, sauraient qu’ils aspirent très fortement à quelque chose que ce monde ne peut leur donner. Tout ce qui s’offre à nous ici-bas ne tient jamais totalement ses promesses. Nos aspirations, lors de notre premier amour ou d’un projet de visite de pays étrangers, ou lors de l’étude d’un sujet passionnant, ne peuvent se réaliser ni par le mariage, ni par un voyage, ni par la recherche approfondie. (…) L’épouse peut être excellente, les hôtels ou le paysage de toute beauté, et la chimie un travail fort intéressant, nous restons toujours insatisfaits."
Ce que C.S. Lewis dit ici, c’est que même les plus belles joies de ce monde ne parviennent jamais à nous rendre pleinement heureux.