Le regard que porte le Seigneur sur chacune de ses créatures est différent de celui que portent les hommes. Ceux-ci ne voient que l’apparence, mais Lui regarde le coeur. Or, dit-il, “le coeur est trompeur par-dessus tout, et incurable ; qui le connaît ? Moi, l’Éternel, je sonde le coeur” (1 Samuel 16. 7 ; Jérémie 17. 9, 10). Ce coeur est “rongé” par le mensonge, l’orgueil, la haine, le mal. Dieu va-t-il procéder à l’égard de l’homme comme le jardinier de Genève ? Non ! Il nous invite à venir à Jésus. Par le sacrifice de sa vie parfaite sur la croix, Jésus a réglé la question du mal qui est en nous et dont nous ne pouvons pas nous débarrasser tout seuls. Celui qui croit en lui est lavé, sanctifié, justifié au nom du Seigneur Jésus, et par l’Esprit de notre Dieu (1 Corinthiens 6. 11).
Auteur inconnu