« G.K. CHESTERTON, le philosophe anglais, a émis une idée très pertinente. Il affirmait que pour le chrétien, la joie était la caractéristique centrale de sa vie, et le chagrin était repoussé à sa périphérie. En effet, disait-il, les questions fondamentales de l’existence ont trouvé leur réponse ; seules les questions périphériques restent encore sans réponse. L’athée, lui, place la tristesse au centre et la joie à la périphérie, parce que seuls les sujets périphériques de l’existence ont trouvé répons tandis que les question primordiales et centrales demeurent »
Ravi ZACHARIAS, L’homme peut-il vivre sans Dieu ?, p. 199.