Le naturalisme philosophique - la vision du monde qui sous-tend l'évolutionnisme - ne peut fournir que trois explications de l'existence de l'univers dans lequel nous vivons. La première est que l'univers n'est qu'une illusion. Cette notion n'a que peu de poids à notre époque d'illumination scientifique. Comme on l'a dit, "même un solipsiste pur et dur regarde des deux côtés avant de traverser la rue". La seconde est que l'univers a surgi du néant. Comme nous l'avons déjà souligné, cette proposition va à l'encontre de la loi de cause à effet. Et la troisième est que l'univers a existé éternellement. Cette hypothèse est dévastée par la loi de l'entropie, qui prédit qu'un univers ayant existé éternellement serait mort il y a une "éternité" par perte de chaleur. Il existe cependant une autre possibilité. Elle se trouve dans le premier chapitre du premier livre de la Bible : "Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre" (Genèse 1:1). À une époque de lumières et de science empirique, rien ne pourrait être plus certain, plus clair ou plus correct.
Hank Hanegraaff, Resurrection, W Publishing Group, 2000, p. 105.
Philosophical naturalism-the world-view undergirding evolutionism-can provide only three explanations for the existence of the universe in which we live. The first is that the universe is merely an illusion. This notion carries little weight in an age of scientific enlightenment. As has been well said, "even a full-blown solipsist looks both ways before crossing the street." The second is that the universe sprang from nothing. As previously pointed out, this proposition flies in the face of the law of cause and effect. And the third is that the universe eternally existed. This hypothesis is devastated by the law of entropy, which predicts that a universe that has eternally existed would have died an "eternity ago" from heat loss. There is, however, one other possibility. It is found in the first chapter of the first book of the Bible: "In the beginning God created the heavens and the earth" (Genesis 1:1). In an age of enlightenment and empirical science, nothing could be more certain, clear or correct.
Hank Hanegraaff, Resurrection, W Publishing Group, 2000, p. 105.