Nous ne sommes pas encouragés à renoncer à notre péché en amusant nos sens ou en dorlotant nos préférences. L'Évangile est intrinsèquement et irréductiblement une confrontation. Il va à l'encontre de notre perception de la justice et de l'autosuffisance, exigeant que nous renoncions à nos péchés les plus chers et que nous fassions confiance à quelqu'un d'autre pour nous justifier. Le divertissement est donc un moyen problématique pour communiquer l'Évangile, car il en occulte presque toujours les aspects les plus difficiles - le coût du repentir, la croix du disciple, l'étroitesse du chemin. Certains ne seront pas d'accord, arguant que le théâtre peut donner aux non-croyants une image visuelle utile de l'Évangile. Mais nous avons déjà reçu de telles images visuelles. Ce sont les ordonnances du baptême et de la Cène et les vies transformées de nos frères et sœurs chrétiens.
Mark Dever et Paul Alexander
We are not encouraged to forsake our sin by having our senses amused or our preferences coddled. The Gospel is inherently and irreducibly confrontational. It cuts against our perceived righteousness and self-sufficiency, demanding that we forsake cherished sin and trust in someone else to justify us. Entertainment is therefore a problematic medium for communicating the Gospel, because it nearly always obscures the most difficult aspects of it – the cost of repentance, the cross of discipleship, the narrowness of the Way. Some will disagree, arguing that drama can give unbelievers a helpful visual image of the Gospel. But we have already been given such visual images. They are the ordinances of baptism and the Lord’s Supper and the transformed lives of our Christian brothers and sisters.
Mark Dever and Paul Alexander