« Si l'espérance
éternelle du chrétien l'aide à nous à supporter le mal pendant
cette vie, c'est parce que nous avons qu'un jour, Dieu mettra un
terme au mal et à la mort, Bien que vaincue par Jésus, la mort
reste une offense à la création divine et un moyen littéralement
diabolique d'asservir l'humanité dans la crainte. La mort nous
révolte, car elle n'est pas naturelle. Nous ne devrions pas mourir.
Mais nous savons que la mort n'aura pas le dernier mot et que toute
larme sera essuyée. (…) Notre attente se nourrit de la confiance
que nous avons dans la promesse de Jésus dans Jean 14,2 : ' Il
y a beaucoup de demeures dans la maison de mon père. Sinon, vous
aurais-je dit que je vais vous préparer une place ?'".
Jonathan Hanley, Le
Christianisme Aujourd'hui, Décembre 2015, p, 15.