C'est dur.
Il n'est peut-être pas trop dur de pardonner une unique et grave offense.
Mais pardonner les incessantes provocations de la vie quotidienne – continuer de pardonner à la belle-mère autoritaire, au mari brutal, à la veuve geignarde, à la fille égoïste, au fils décevant, qui en est capable ?
On ne le peut qu'en se souvenant où nous en sommes, en pensant ce que nous disons quand nous prions : Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Il n'y a pas d'autre condition au pardon qui nous est offert.
Refuser, c'est refuser le pardon de Dieu pour ce qui nous concerne.
Il n'y a pas même un soupçon d'exception, et Dieu pense ce qu'Il dit.
Mais pardonner les incessantes provocations de la vie quotidienne – continuer de pardonner à la belle-mère autoritaire, au mari brutal, à la veuve geignarde, à la fille égoïste, au fils décevant, qui en est capable ?
On ne le peut qu'en se souvenant où nous en sommes, en pensant ce que nous disons quand nous prions : Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
Il n'y a pas d'autre condition au pardon qui nous est offert.
Refuser, c'est refuser le pardon de Dieu pour ce qui nous concerne.
Il n'y a pas même un soupçon d'exception, et Dieu pense ce qu'Il dit.