Andrew Bonar écrivit dans son journal, le 3 janvier 1856 : "J'ai essayé de maintenir la prière à cette période chaque heure du jour, interrompant mes occupations, quoi qu’elles fussent, pour prier un peu. Je cherche à tenir mon âme à l'ombre du trône de la grâce et de Celui qui est assis dessus."
Le dimanche 8 mars : "Je me sens effrayé par moi-même en raison du fait que je suis moins consacré à la prière que j'ai l'habitude de l’être, bien que je sois plus souvent aidé dans les prédications que jamais..."
Mercredi 24 : "Oh mon Dieu, ne me laisse jamais marcher même dans les verts pâturages sans Toi! Je me sens heureux de vivre comme un pèlerin et un étranger et plus, beaucoup plus qu'auparavant, je recherche par la prière et par de forts cris dans le secret à voir Dieu glorifié dans le salut des âmes."