La communion mutuelle est l'âme de toute véritable amitié ; et une conversation familière avec un ami a la plus grande douceur... [donc] en plus du tribut commun du culte quotidien que vous devez à [Dieu], prenez l'occasion de venir en Sa présence dans le but d'avoir une communion avec Lui. C'est là une véritable amitié, car c'est par les visites que l'amitié se maintient et s'entretient le mieux ; et ces visites, plus elles sont libres et moins elles sont occasionnées par des affaires urgentes ou des solennités..... Plus elles sont amicales... Nous avions l'habitude de contrôler nos amis avec cette réprimande. "Tu viens encore [toujours] quand tu as quelque affaire, mais quand viendras-tu me voir ?". ...Quand vous venez en sa présence, dites-lui encore combien vous l'aimez ; efforcez-vous d'abonder en expressions de ce genre, que...rien ne peut plus prendre au cœur d'un ami.
J.I. Packer, The Puritan Idea of Communion with God, in Puritan Papers, Volume 2, 1960-1962, 2001, p. 114-115.
Mutual communion is the soul of all true friendship; and a familiar converse with a friend hath the greatest sweetness in it…[so] besides the common tribute of daily worship you owe to [God], take occasion to come into His presence on purpose to have communion with Him. This is truly friendly, for friendship is most maintained and kept up by visits; and these, the more free and less occasioned by urgent business, or solemnity…. The more friendly they are… We used to check our friends with this upbraiding. “You still [always] come when you have some business, but when will you come to see me?” …When you come into His presence, be telling Him still how well you love Him; labor to abound in expressions of that kind, than which…there is nothing more taking with the heart of any friend.
J.I. Packer, The Puritan Idea of Communion with God, in Puritan Papers, Volume 2, 1960-1962, 2001, p. 114-115.