Si Jésus avait dressé la violence contre la violence, cela n'aurait fait qu'un conflit de plus sur cette terre qui n'en manque pas. Et qu'en serait-il resté ?
A la violence, Jésus a opposé la force de la douceur.
Il a répondu au mensonge par la force de la vérité.
Il a répondu à l'insulte par la force du silence.
Il a répondu au crime par la force du pardon.
Il a répondu à la haine par la force de l'amour.
D'après le pasteur Philippe Zeissig