En 1962, quelques mois avant sa mort, l'actrice Marylin Monroe donna une interview à un journaliste Richard Meryman, du quotidien Life.
Elle déclara : "La gloire passe. Mais jusqu'ici, je t'ai eue et t'ai, Gloire ! Elle peut s'en aller : j'ai toujours su qu'elle était inconstante. Au moins, j'en aurais fait l'expérience, mais ce n'est pas là que se place ma vie."
Cela ressemblait aux dernières paroles d'un mourant, et c'est ainsi qu'elle furent considérées par la suite.
"Aujourd'hui, avait ajouté Marylin, ma vie est dans mon travail et dans l'amitié aux quelques êtres sur qui je peux compter."
Mais il n'y avait plus de travail (son dernier film avait été un échec), et pour les quelques amis, elle les recherchait désespérément.
Extrait de "Les vies secrétes de Marylin Monroe" de Anthony Summers, page 418 Editions J'ai lu.
Elle déclara : "La gloire passe. Mais jusqu'ici, je t'ai eue et t'ai, Gloire ! Elle peut s'en aller : j'ai toujours su qu'elle était inconstante. Au moins, j'en aurais fait l'expérience, mais ce n'est pas là que se place ma vie."
Cela ressemblait aux dernières paroles d'un mourant, et c'est ainsi qu'elle furent considérées par la suite.
"Aujourd'hui, avait ajouté Marylin, ma vie est dans mon travail et dans l'amitié aux quelques êtres sur qui je peux compter."
Mais il n'y avait plus de travail (son dernier film avait été un échec), et pour les quelques amis, elle les recherchait désespérément.
Extrait de "Les vies secrétes de Marylin Monroe" de Anthony Summers, page 418 Editions J'ai lu.