Si ce n’est pas votre propre gloire que vous recherchez, Dieu ne fixera aucune limite à ce qu’Il peut faire à travers nous.
Alors âgé de plus de 90 ans, George Müller s’adressa à une assemblée des pasteurs et autres serviteurs chrétiens : « Bien que je mes sois converti en novembre 1825, ce n’est que quatre ans plus tard, en 1829, que je remis ma vie totalement entre les mains de Dieu. Là, j’ai compris que je venais de me dépouiller à la fois de ma passion pour l’argent, de ma course effrénée à la gloire personnelle, de la position que j’occupais dans la vie mais aussi de tous les plaisirs du monde.
Dieu, et Lui seul, devint alors mon tout. En Lui, je trouvais tout ce dont j’avais besoin, et je ne désirais rien d’autre. Jusqu’à ce jour, par la Grâce, j’ai compris qu’Il m’accordait toujours toute chose en quantité suffisante, et ma nouvelle condition à fait de moi un homme totalement heureux. J’ai ainsi appris à ne m‘intéresser qu’aux choses d’en haut ».