Le théologien James I. Packer a dit que si l’on peut arriver à surmonter les objections intellectuelles à l’idée que Jésus est Dieu dans la chair, on pourra accepter sans difficulté toute autre vérité du Nouveau Testament. Il écrit :
" Les chrétiens affirment (…) quelque chose d’absolument stupéfiant : Jésus de Nazareth était devenu le second Adam (1 Corinthiens 15.47) (…) ; il revêtait notre humanité sans perdre sa divinité ; Jésus de Nazareth était à la fois véritablement et pleinement Dieu et homme.
(…) “La Parole a été faite chair” (Jean 1.14). Dieu s’est fait homme , le Fils de Dieu s’est fait Juif, le Tout-Puissant est apparu sur la terre comme un bébé sans défense, qui ne savait que dormir dans son berceau, ouvrir de grands yeux, s’agiter et pleurer, et qui avait besoin d’être nourri, changé et entouré d’affection, comme n’importe quel autre enfant. L’enfance du Fils de Dieu fut inscrite dans la réalité et, en tant que telle, ne fut source d’aucune illusion ni d’aucune déception. Plus on y réfléchit, plus tout cela semble stupéfiant. (…) Les problèmes que soulèvent certains points de l’Évangile trouvent généralement leur origine dans l’incrédulité, ou du moins dans le manque de foi, qui accueille l’idée de l’incarnation. Mais une fois admise la réalité de l’incarnation, ces difficultés s’évanouissent."
Citation tiré de "Connaître Dieu"(Mulhouse : Éditions Grâce et Vérité, 2e éd. 1994), 54-55
" Les chrétiens affirment (…) quelque chose d’absolument stupéfiant : Jésus de Nazareth était devenu le second Adam (1 Corinthiens 15.47) (…) ; il revêtait notre humanité sans perdre sa divinité ; Jésus de Nazareth était à la fois véritablement et pleinement Dieu et homme.
(…) “La Parole a été faite chair” (Jean 1.14). Dieu s’est fait homme , le Fils de Dieu s’est fait Juif, le Tout-Puissant est apparu sur la terre comme un bébé sans défense, qui ne savait que dormir dans son berceau, ouvrir de grands yeux, s’agiter et pleurer, et qui avait besoin d’être nourri, changé et entouré d’affection, comme n’importe quel autre enfant. L’enfance du Fils de Dieu fut inscrite dans la réalité et, en tant que telle, ne fut source d’aucune illusion ni d’aucune déception. Plus on y réfléchit, plus tout cela semble stupéfiant. (…) Les problèmes que soulèvent certains points de l’Évangile trouvent généralement leur origine dans l’incrédulité, ou du moins dans le manque de foi, qui accueille l’idée de l’incarnation. Mais une fois admise la réalité de l’incarnation, ces difficultés s’évanouissent."
Citation tiré de "Connaître Dieu"(Mulhouse : Éditions Grâce et Vérité, 2e éd. 1994), 54-55