Un auteur chrétien a écrit les lignes suivantes :
“J’essayais de me débarrasser d’un péché particulier, suppliant sans cesse le Seigneur de m’en délivrer, mais sans résultat. Un jour je m’emportai contre Dieu et Lui criai : Pourquoi ne veux-Tu pas m’aider ? Il me répondit doucement : Parce que tu n’en es pas assez dégoûté ! Tu continues à aimer le plaisir qu’il te procure ! Je protestai : Mais non ! Je le déteste ! Dieu me répondit : Si tu le détestais suffisamment, tu l’aurais abandonné depuis longtemps ! Je compris alors que j’appréciais davantage les plaisirs que me procurait ce péché que la récompense de mon obéissance à Dieu. Je découvris aussi une autre vérité qui m’avait échappé jusqu’à ce jour : je ne pourrai jamais, par la force de ma volonté humaine, parvenir à la vraie repentance. Je ne pourrai jamais me dépêtrer de ma corruption intérieure. La repentance est un don d’amour que seul Dieu peut nous accorder. Et tant que cet amour n’est pas libre de s’exprimer par l’exposition de ces zones d’ombre que nous continuons à entretenir, nous ne pouvons changer vraiment.”
“J’essayais de me débarrasser d’un péché particulier, suppliant sans cesse le Seigneur de m’en délivrer, mais sans résultat. Un jour je m’emportai contre Dieu et Lui criai : Pourquoi ne veux-Tu pas m’aider ? Il me répondit doucement : Parce que tu n’en es pas assez dégoûté ! Tu continues à aimer le plaisir qu’il te procure ! Je protestai : Mais non ! Je le déteste ! Dieu me répondit : Si tu le détestais suffisamment, tu l’aurais abandonné depuis longtemps ! Je compris alors que j’appréciais davantage les plaisirs que me procurait ce péché que la récompense de mon obéissance à Dieu. Je découvris aussi une autre vérité qui m’avait échappé jusqu’à ce jour : je ne pourrai jamais, par la force de ma volonté humaine, parvenir à la vraie repentance. Je ne pourrai jamais me dépêtrer de ma corruption intérieure. La repentance est un don d’amour que seul Dieu peut nous accorder. Et tant que cet amour n’est pas libre de s’exprimer par l’exposition de ces zones d’ombre que nous continuons à entretenir, nous ne pouvons changer vraiment.”