Si une approche de Dieu (ou presque) est aussi bonne qu'une autre, comment comprendre l'insistance de la Bible sur le monothéisme, son rejet constant de toute forme d'idolâtrie et l'impulsion missionnaire - que les nations se tournent vers le vrai Dieu - qui va de la Genèse à l'Apocalypse ? Plus important encore, le pluralisme ne peut rendre justice à la place privilégiée que la Bible accorde à Jésus-Christ. Chaque genou doit s'incliner devant Lui. Il jugera tous les peuples. Le Dieu de la Bible, révélé comme Yahvé dans l'Ancien Testament et incarné à Jésus-Christ dans le Nouveau, n'est rien d'autre qu'un Dieu universel qui n'accepte aucun rival. Rejeter la personne et l'œuvre uniques de Jésus-Christ, c'est se moquer complètement de la Bible. Rejeter ses prétentions, c'est rejeter Dieu lui-même et lui voler la gloire qui lui revient de droit. En fin de compte, c'est tourner le dos à la Bible et au Dieu de la Bible.
Tim Challies
If any (or almost any) approach to God is as good as another, how do we make sense of the Bible’s insistence on monotheism, its consistent rejection of all forms of idolatry, and the missionary impulse — that the nations would turn to the true God — running from Genesis to Revelation? Most crucially, pluralism cannot do justice to the privileged place the Bible gives to Jesus Christ. Every knee must bow before Him. He will judge all peoples. The God of the Bible, revealed as Yahweh in the Old Testament and incarnated at Jesus Christ in the New, is nothing if not a universal God who accepts no rivals. To reject the unique person and work of Jesus Christ is to make an utter mockery of the Bible. To reject His claims is to reject God Himself and to steal from Him the glory that is rightly His. Ultimately it is to turn one’s back on the Bible and on the God of the Bible.
Tim Challies