Lorsque nous sommes tentés et que nous cherchons à connaître et à aimer Dieu, et que, comme Moïse, nous désirons ardemment voir sa gloire, et que cette occupation de notre esprit nous fait perdre tout amour pour la tentation précédente, nous avons fait l'expérience de la réalité de la forme la plus élevée de liberté par rapport au péché. C'est une chose d'aimer le péché et de nous forcer à l'abandonner ; c'en est une autre de haïr le péché parce que l'amour de Dieu est si fort que le péché ne nous attire plus. Cette dernière est la repentance ; la première est la réforme. C'est la repentance que Dieu exige. La repentance est "un changement d'avis". Aimer et pourtant abandonner le péché n'est pas la même chose que le détester et l'abandonner. Votre prétendue victoire sur un péché peut être un simple déplacement. Il se peut que vous aimiez tellement un péché (comme votre orgueil) que vous réduisez un autre péché plus embarrassant que vous aimez également. Cela peut sembler spirituel, mais il n'y a rien de Dieu là-dedans. Les hommes naturels le font tous les jours.
Jim Elliff
When we are tempted and seek to know and love God, and like Moses long to see His glory, and out of that occupation of our minds have no further love for that previous temptation, we have experienced something of the reality of the very highest form of freedom from sin. It is one thing to love sin and to force ourselves to quit it; it is another thing to hate sin because love for God is so gripping that the sin no longer appeals. The latter is repentance; the former is reform. It is repentance that God requires. Repentance is “a change of mind.” To love and yet quit it is not the same as hating it and quitting it. Your supposed victory over a sin may be simple displacement. You may love one sin so much (such as your pride) that you will curtail another more embarrassing sin which you also love. This may look spiritual, but there is nothing of God in it. Natural men do it every day.
Jim Elliff