En écrivant un livre sur son premier mari, Peter Marshall (1905-1949), Catherine se sentit découragée. Se souvenant de Jean 15, elle comprit que la
clé de son succès se trouvait dans sa totale dépendance de Dieu.
Acceptant sa propre impuissance, elle découvrit qu’elle pouvait puiser
dans les forces de Dieu.
Elle écrivit : "Les crises nous mettent en face de notre insuffisance, et notre
insuffisance nous dirige vers l’infinie suffisance de Dieu. Telle est la
puissance de la faiblesse, un principe écrit dans la trame même de la
vie."