« Le christianisme n'offre pas à l'homme un abîme, mais un sol ferme; seulement ce sol est en Dieu et non en l'homme lui-même, et il est tel que celui qui y prend pied renonce à son propre sol. »
HANS URS VON BALTHASAR, Le chrétien et l'angoisse, traduit de l'allemand par C. Champollion, Bruges, Desclée de Brouwer, 1954, p. 88.