Quand J.P. Morgan, financier américain gérant une immense fortune, mourut, on découvrit dans son testament un article concernant “une affaire” qu'il considérait comme capitale.
Voici ce qu'il en disait :«Je remets mon âme entre les mains de mon Sauveur, dans la pleine assurance que, m'ayant sauvé et lavé de mes péchés dans son sang précieux, il me présentera sans tache devant le trône de son Père. Je conjure mes enfants de maintenir et de défendre, en toute occasion, la doctrine de l'entière expiation des péchés par le sang de Jésus Christ qui s'est offert une fois pour toutes.»