"Je
vous remercie de compatir aux souffrances où il plaît à Dieu de
m'engager. Il me fait la grâce d'être content de mon état. Et s'il
m'appelle à le glorifier par ma patience et ma soumission à sa volonté
en m'accordant le secours nécessaire pour cela, je dois être satisfait,
car, pourvu que Dieu soit glorifié, cela me suffit. Ne vous affligez
donc pas à mon sujet et continuez-moi
le secours de vos prières, afin qu'à mesure que l'homme extérieur
dépérit en moi, l'intérieur se renouvelle de plus en plus.".