Un pasteur a comparé l'ascension du chrétien dans sa vie spirituelle à une course en montagne. Il a dit :
Celui qu'on croyait irrémédiablement perdu, condamné à mourir, accroché à son piton, voilà qu'il apparait là-haut, vivant. Et il appelle les autres à venir, par là où il est passé.
En effet, bien que le royaume des cieux nous semble à bien des égards un sommet inaccessible, nous devons toujours garder en mémoire que Christ nous a ouvert la voie. Jésus est passé en tête de cordée ; ceux qu'il appelle à monter n'ont plus qu'à observer ses faits et gestes et à lire son "manuel" pour marcher dans ses traces. Ce n'est pas parce que Jésus Christ a vaincu la paroi que nous avons, nous aussi achevé la course, ou que nous n'avons qu'à nous laisser hisser au sommet sans effort, comme un poids mort.
Non, au contraire, nous sommes vivants en lui et engagés à sa suite, comme une cordée marchant après son guide.
Osée 11.4 "Je les tirai avec des liens d’humanité, avec des cordages d’amour."
Les passages où nous dévisserions infailliblement, face aux obstacles insurmontables, aux surplombs, la dernière corniche de la mort où nous basculerions fatalement dans le vide, il les a affrontés, il en a triomphé.
Celui qu'on croyait irrémédiablement perdu, condamné à mourir, accroché à son piton, voilà qu'il apparait là-haut, vivant. Et il appelle les autres à venir, par là où il est passé.
En effet, bien que le royaume des cieux nous semble à bien des égards un sommet inaccessible, nous devons toujours garder en mémoire que Christ nous a ouvert la voie. Jésus est passé en tête de cordée ; ceux qu'il appelle à monter n'ont plus qu'à observer ses faits et gestes et à lire son "manuel" pour marcher dans ses traces. Ce n'est pas parce que Jésus Christ a vaincu la paroi que nous avons, nous aussi achevé la course, ou que nous n'avons qu'à nous laisser hisser au sommet sans effort, comme un poids mort.
Non, au contraire, nous sommes vivants en lui et engagés à sa suite, comme une cordée marchant après son guide.
Osée 11.4 "Je les tirai avec des liens d’humanité, avec des cordages d’amour."
Les passages où nous dévisserions infailliblement, face aux obstacles insurmontables, aux surplombs, la dernière corniche de la mort où nous basculerions fatalement dans le vide, il les a affrontés, il en a triomphé.
Lui seul, en tête, sans pouvoir être aidé, a assumé les risques mortels
pour nous. Et maintenant, qu'il a tracé la voie il nous assure, à
chaque pas, par ses cordages d'amour. Nous avançons, parce qu'il a
vaincu ; et cela nous donne un grand espoir ; celui de parvenir
victorieux au but final ! Car même si nous partageons les souffrances
qu'il a subies, nous nous savons déjà sauvés par les siennes. Nos
efforts ne sont donc pas vains ; il est là, tout proche, proclamant
notre victoire commune, afin que par la foi, nous répondions à son
appel à l'ascension !