Aussi écrivait-il à
des amis chrétiens : « Ma
communion avec Christ est au-dessus de tous les autres biens : Christ
est ma vie et ma paix, ma richesse et ma justice ; il est mon espoir et
ma force, mon héritage et ma joie. Je prendrai mon plaisir en lui, je me
glorifierai en lui à toujours. En lui, je m'estime le plus heureux, le
plus riche, bien que par moi-même je ne sois rien ; en lui je puis me
vanter sans orgueil et me glorifier sans vanité. Il n'y a pas ici à
craindre d'être trop joyeux, et le chrétien ne peut pas trop exalter son
bonheur et sa richesse en Christ. »
Il célébrait souvent l'amour du Sauveur, et invitait ainsi en lui-même et chez les autres une sainte obéissance.
Il célébrait souvent l'amour du Sauveur, et invitait ainsi en lui-même et chez les autres une sainte obéissance.