Un pasteur a écrit :
« Comme le péché a toujours l’air tentant et attirant, si
nous croyons que ce qui nous semble beau et agréable est acceptable,
nous risquerons de nous laisser berner par l’ennemi. Quand Satan
nous tente, il ne nous montre jamais les conséquences négatives de
nos actions.
Dieu nous accorde du
discernement pour que nous jugions entre le bien et le mal. Cette
capacité nous protège de la souffrance qui accompagne la
désobéissance. N’ignorons donc pas un malaise dans notre esprit,
un genre de « grésillement spirituel ». Quand on syntonise un
poste, on cherche un signal clair. Il nous faut par conséquent un
bon contact avec le Saint-Esprit pour savoir, sans l’ombre d’un
doute, que nous faisons la bonne chose et que notre choix s’inscrit
dans le cadre de la volonté de Dieu.
Parfois, une occasion
nous semblera inoffensive ou, plus souvent, très attirante. Si le
Saint-Esprit nous révèle que nous ne devrions pas la saisir,
obéissons-lui. C’est qu’il ne s’agit pas de la volonté de
Dieu. Nous pourrons faire des hypothèses, mais nous ne saurons
possiblement jamais de quel danger l’obéissance nous a sauvés.
Le péché ne se présente
pas initialement comme la désobéissance laide et trompeuse qu’il
est en réalité. Il est plutôt revêtu d’un bel emballage auquel
il est difficile de résister. Les enfants de Dieu peuvent cependant
voir au-delà du tape-à-l’œil. Puisque la sagesse spirituelle
tire sa source d’un cœur pur et d’un esprit qui discerne, le
croyant sage intégrera à sa routine quotidienne la prière, la
repentance et l’étude biblique. »
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