Le monde définit la paix comme le sentiment de calme, de tranquillité, de quiétude, de contentement et de bien-être qui survient lorsque tout va bien. Mais cette définition, franchement, est superficielle. Un sentiment de calme et de tranquillité peut être produit par des mensonges, l'auto-illusion, une bonne fortune inattendue, l'absence de conflits et de problèmes, le biofeedback, les drogues, l'alcool, et même une bonne nuit de sommeil. Cette paix est éphémère et facilement détruite. Elle peut être brisée par l'arrivée de conflits et d'ennuis, ainsi que par l'échec, le doute, la peur, l'amertume, la colère, l'orgueil, les difficultés, la culpabilité, le regret, le chagrin, l'anxiété face à des circonstances indépendantes de notre volonté, le fait d'être déçu ou trompé par les autres, la prise de mauvaises décisions - en bref, par toute menace perçue pour notre sécurité.
John MacArthur, 1 et 2 Thessaloniciens, Moody, 2002, p. 313.
The world defines peace as the sense of calm, tranquility, quietness, contentment, and well-being that comes when everything is going well. But that definition, frankly, is shallow. A calm, tranquil feeling can be produced by lies, self-deception, unexpected good fortune, the absence of conflict and trouble, biofeedback, drugs, alcohol, even a good night’s sleep. Such peace is fleeting and easily destroyed. It can be shattered by the arrival of conflict and trouble, as well as by failure, doubt, fear, bitterness, anger, pride, difficulty, guilt, regret, sorrow, anxiety over circumstances beyond one’s control, being disappointed or mislead by others, making bad decisions – in short, by any perceived threat to one’s security.
John MacArthur, 1 and 2 Thessalonians, Moody, 2002, p. 313.
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