Nombre total de pages vues

Rechercher dans ce blog

mardi 14 mars 1995

La Bible ne nous donne nulle part une telle règle.



Une œuvre ne doit pas être jugée par des effets sur le corps des hommes, tels que des larmes, des tremblements, des gémissements, de grands cris, des agonies du corps, ou la perte de force corporelle. L'influence que subissent les personnes ne doit pas être jugée d'une manière ou d'une autre par de tels effets sur le corps. La Bible ne nous donne nulle part une telle règle. Nous ne pouvons pas conclure que des personnes sont sous l'influence du véritable Esprit parce que nous voyons de tels effets sur leur corps. Ceci n'est pas donné comme une marque du véritable Esprit ; et d'autre part, nous n'avons aucune raison de conclure, à partir de telles apparences extérieures, que des personnes ne sont pas sous l'influence de l'Esprit de Dieu. La Bible ne nous donne aucune règle pour juger les esprits qui exclut expressément ou indirectement de tels effets sur le corps, et la raison ne les exclut pas non plus.

Jonathan Edwards, Distinguishing Marks of a Work of the Spirit of God, 1741. Le langage moderne est emprunté à Archie Parrish, The Spirit of Revival, Crossway Books, 2000, p. 59-60.

A work is not to be judged by any effects on the bodies of men; such as tears, trembling, groans, loud outcries, agonies of body, or the failing of bodily strength. The influence persons are under is not to be judged of one way or other by such effects on the body. Scripture nowhere gives us any such rule. We cannot conclude that persons are under the influence of the true Spirit because we see such effects upon their bodies. This is not given as a mark of the true Spirit; nor on the other hand, have we any reason to conclude from any such outward appearances that persons are not under the influence of the Spirit of God. There is no rule of Scripture given us by which to judge spirits that either expressly or indirectly excludes such effects on the body, nor does reason exclude them.

Jonathan Edwards, Distinguishing Marks of a Work of the Spirit of God, 1741. Modern language courtesy of Archie Parrish, The Spirit of Revival, Crossway Books, 2000, p. 59-60.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire