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vendredi 20 novembre 2020

Notre culpabilité


Si le Fils de Dieu n'est pas mort à notre place, en prenant le châtiment que nous méritons pour nos péchés, nous ne serons pas sauvés, et nous ne serons pas citoyens de son royaume. Notre culpabilité est trop profonde. Si cela est vrai, alors nous ne pouvons pas adoucir les limites du message de l'Évangile. Nous ne pouvons pas mettre de côté la mort pénale et substitutive de Jésus, nous ne pouvons pas la remplacer par une autre vérité, et nous ne pouvons pas la réimaginer comme quelque chose de moins offensant (et finalement moins merveilleux !) qu'elle ne l'est réellement. Si nous le faisons, nous présenterons au monde quelque chose qui ne sauve pas, et qui n'est donc pas du tout une bonne nouvelle.

Greg Gilbert, Don't Call it a Comeback, édité par Kevin DeYoung, copyright 2011, page 81. 

Unless the Son of God died in our place, taking the punishment we deserve for our sins, we will not be saved, and we will not be citizens of His kingdom. Our guilt is too deep. If that is true, then we cannot soften the edges of the gospel message. We cannot move the penal, substitutionary death of Jesus to the side, we cannot replace it with any other truth, and we cannot reimagine it as something less offensive (and ultimately less wonderful!) than it really is. If we do, then we will present the world with something that is not saving, and that is therefore not good news at all.

Greg Gilbert, Don’t Call it a Comeback, edited by Kevin DeYoung, copyright 2011, page 81.

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