J'ai rencontré dans ma vie une affection plus douce, plus profonde paisible que toutes les autres. c'est celle de Jésus-Christ
Jésus pour la fin de l'année 1879. Jésus pour résumer toutes les grâces. Jésus pour effacer tous les péchés. Jésus comme preuve et comme manifestation de cet amour qui emporte tout péché, toute faute, tout mauvais souvenir dans l'abîme, qui permet d'oublier, de se reposer, plein de confiance, entre les bras du Père.
Jésus pour la fin de l'année 1879. Jésus pour résumer toutes les grâces. Jésus pour effacer tous les péchés. Jésus comme preuve et comme manifestation de cet amour qui emporte tout péché, toute faute, tout mauvais souvenir dans l'abîme, qui permet d'oublier, de se reposer, plein de confiance, entre les bras du Père.
Et Jésus, comme mot d'ordre de cette année nouvelle.
Jésus,
dans la grâce duquel il faut demeurer. C'est le premier devoir,
l'essentiel. Etre assis à ses pieds, chaque matin recevoir sa grâce.
Jésus,
qu'il faut apprendre à connaître, car en lui, nous avons vu Dieu. Le
connaître, connaître Dieu, c'est lire dans son cœur. C'est connaître
aussi les hommes et l'amour que Dieu a eu pour eux.
Jésus qu'il faut suivre jour après jour, toujours de plus près, comme un vrai disciple.
Jésus
qu'il faut. apporter aux autres, tout entier, vivant. Non des livres,
non des traités, non une doctrine, mais une personne vivante, Jésus.
Pensée du matin, du pasteur Alfred Boegner 21 décembre 1879.
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