Un pasteur a dit : "Si nos cœurs entretiennent l’espérance constante du retour du
Seigneur, nous mettrons peu de prix à toutes les choses terrestres. Il est
moralement impossible que nous puissions être dans l’attitude de l’attente du
Fils venant du ciel , et que nous ne soyons pas
détachés de ce monde. On peut adopter la doctrine du retour du Seigneur et n’en
être pas moins un homme du monde ; mais celui qui vit dans l’attente
habituelle de l’apparition de Christ, ne peut qu’être séparé de ce qui sera
jugé et détruit quand il viendra.
Une grande partie de notre faiblesse à attendre la venue du
Seigneur vient du manque de jouissance de nos relations avec lui. L’intensité
du désir, jointe à la connaissance du lien qui fait de nous un tout, produit
une attente réelle."