La joie obtenue par l'adoration ne ressemble pas à celle, terrestre que l'on ressent, lorsqu'on s'amuse bien ou qu'on se divertit. Toute joie physique, temporelle est passagère. Alfred P. Gibbs observe à juste titre :
« Cette 'joie de l'Eternel' qui est 'notre force' n'est pas à confondre avec cette hilarité d'esprit exprimé par l'homme non-chalant et sans Dieu lorsqu'il arrive à bannir Dieu de ses pensées et fermer les yeux à son état de péché, et aux conséquences – très redoutées- s'il devait mourir dans cette condition. »
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