Si l’intelligence humaine cherche la vérité, elle ne peut que rencontrer l’intelligence de Dieu.
En 1989, l’historien Jean Delumeau a rédigé un ouvrage avec des scientifiques et des croyants intitulé « Le savant et la foi ». Dans sa préface, il justifie son livre « parce que règne dans l’opinion la conviction qu’un scientifique ne peut être qu’athée ou agnostique ».
En 1989, l’historien Jean Delumeau a rédigé un ouvrage avec des scientifiques et des croyants intitulé « Le savant et la foi ». Dans sa préface, il justifie son livre « parce que règne dans l’opinion la conviction qu’un scientifique ne peut être qu’athée ou agnostique ».
Dans son ouvrage l’auteur interroge une vingtaine de savants et de chercheurs de haut niveau qui tous disent oui à la foi. Il écrira : « Aucun des auteurs qui ont collaboré à la rédaction du livre n’a ressenti la lecture de la Bible comme un frein à la recherche scientifique, ni l’attrait de la recherche comme un frein à la lecture biblique... ». Science et foi ne s’opposent pas. Elles s’harmonisent quand le cœur est humble devant l’intelligence et la sagesse de Dieu.
Galilée, physicien, astronome italien notamment à l’origine d’une révolution dans l’observation de l’univers, écrivait : « L’Ecriture est toujours véritable, elle a toute autorité sur les questions de foi, mais sa profondeur mystérieuse est souvent impénétrable à notre faible esprit. Si la vérité se trouve dans les livres sacrés, elle n’y est pas claire pour tous. Et il faut se servir, pour l’y apercevoir, de l’intelligence et de la raison que Dieu nous a données. Le Saint-Esprit les a dictées et il est vrai qu’il ne se trompe jamais. Mais lorsque nous interrogeons la nature c’est lui aussi, le Saint-Esprit, qui nous répond et nous enseigne. Les ouvrages de Dieu ne se démentent pas les uns les autres. Les contrariétés ne sont qu’apparentes. Il faut les concilier car la science ne peut être un affaiblissement de la foi ».Cet homme de science avec toute sa foi reconnaît dans l’Ecriture et dans la nature l’œuvre de Dieu. Ce grand savant a énoncé un principe fondamental : Dieu est à la fois l’auteur de la Bible et le créateur de l’univers. La Bible et la nature sont en harmonie. Elles ont un même auteur, le Créateur qui a inspiré l’Ecriture. Dieu dit la même chose dans la nature et dans sa Parole. La nature, riche, prodigieuse, magnifique, complexe, est un livre ouvert où Dieu se révèle, où nous pouvons lire sa puissance.
David avait bien compris cette vérité. Dans la première moitié du psaume 19, il fait l’éloge de la nature, de la création divine, et dans la seconde celle de la Parole de Dieu. David avait déjà découvert que la nature et l’Ecriture ont un seul Auteur, Dieu lui-même. Toutes deux ont un même langage.
Galilée, physicien, astronome italien notamment à l’origine d’une révolution dans l’observation de l’univers, écrivait : « L’Ecriture est toujours véritable, elle a toute autorité sur les questions de foi, mais sa profondeur mystérieuse est souvent impénétrable à notre faible esprit. Si la vérité se trouve dans les livres sacrés, elle n’y est pas claire pour tous. Et il faut se servir, pour l’y apercevoir, de l’intelligence et de la raison que Dieu nous a données. Le Saint-Esprit les a dictées et il est vrai qu’il ne se trompe jamais. Mais lorsque nous interrogeons la nature c’est lui aussi, le Saint-Esprit, qui nous répond et nous enseigne. Les ouvrages de Dieu ne se démentent pas les uns les autres. Les contrariétés ne sont qu’apparentes. Il faut les concilier car la science ne peut être un affaiblissement de la foi ».Cet homme de science avec toute sa foi reconnaît dans l’Ecriture et dans la nature l’œuvre de Dieu. Ce grand savant a énoncé un principe fondamental : Dieu est à la fois l’auteur de la Bible et le créateur de l’univers. La Bible et la nature sont en harmonie. Elles ont un même auteur, le Créateur qui a inspiré l’Ecriture. Dieu dit la même chose dans la nature et dans sa Parole. La nature, riche, prodigieuse, magnifique, complexe, est un livre ouvert où Dieu se révèle, où nous pouvons lire sa puissance.
David avait bien compris cette vérité. Dans la première moitié du psaume 19, il fait l’éloge de la nature, de la création divine, et dans la seconde celle de la Parole de Dieu. David avait déjà découvert que la nature et l’Ecriture ont un seul Auteur, Dieu lui-même. Toutes deux ont un même langage.
Ainsi Galilée affirmait : « L’Ecriture est toujours véritable. Le Saint-Esprit est à l’origine de la Bible et de l’univers. L’Esprit Saint ne se trompe jamais. Les contradictions entre science et foi ne sont qu’apparentes. La science ne peut être un affaiblissement de la foi ». Cet homme de foi et de science a risqué sa vie (l’Eglise catholique le condamnait au bûcher s’il ne se reniait pas). Il a étudié avec beaucoup d’intelligence ce rapport entre la science et la foi.
En 1993, 360 ans après avoir condamné Galilée et ses découvertes, le Vatican a enfin reconnu son erreur et réhabilité le savant italien. Ce dernier avait interrogé la nature et ensuite partagé ses conclusions. Job disait déjà : « Interroge les bêtes, elles t’instruiront ; les oiseaux du ciel, ils te l’apprendront ; parle à la terre, elle t’instruira ; et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne reconnaît chez eux la preuve que la main de l’Eternel a fait toutes choses ? » (Job 12 : 7). Job ne faisait que dire la même vérité découverte par Galilée et tous les autres savants humbles et illustres précités.
En 1993, 360 ans après avoir condamné Galilée et ses découvertes, le Vatican a enfin reconnu son erreur et réhabilité le savant italien. Ce dernier avait interrogé la nature et ensuite partagé ses conclusions. Job disait déjà : « Interroge les bêtes, elles t’instruiront ; les oiseaux du ciel, ils te l’apprendront ; parle à la terre, elle t’instruira ; et les poissons de la mer te le raconteront. Qui ne reconnaît chez eux la preuve que la main de l’Eternel a fait toutes choses ? » (Job 12 : 7). Job ne faisait que dire la même vérité découverte par Galilée et tous les autres savants humbles et illustres précités.
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