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mardi 23 mars 2004

Une bonne théologie de la souffrance


Si nous sommes dépourvus d'une théologie de la souffrance, nous risquons de marginaliser nos attentes à l'égard du ciel... Si nous concluons que nous sommes maintenant appelés à connaître la guérison totale, une joie sans entrave, un succès sans pareil et l'absence de douleur, alors pourquoi nous préoccuper du ciel ? Comment Paul a-t-il géré ses souffrances et encouragé l'Église à affronter les siennes ? Non pas en essayant de produire le paradis sur terre, mais en reconnaissant que pour le chrétien, le meilleur reste à venir. Il a pris le moment présent et l'a placé dans le contexte plus large du dessein de Dieu, non seulement dans le temps mais aussi dans l'éternité (2 Corinthiens 4:16-18).

Alistair Begg, Made For His Pleasure, Moody Press, 1996, p. 116. 

If we are devoid of a theology of suffering, we are in danger of marginalizing our expectations of heaven… If we conclude that we are now to experience total healing, unfettered joy, unparalleled success, and freedom from pain, then why be concerned about heaven? How did Paul handle his sufferings and encourage the church to face theirs? Not by trying to produce heaven on earth but by recognizing that for the Christian the best is yet to be. He took the moment and put it in the larger context of God’s unfolding purpose, not only for time but also in eternity (2 Corinthians 4:16-18).

Alistair Begg, Made For His Pleasure, Moody Press, 1996, p. 116. 

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