Les promesses de Dieu sont des fleurs qui pousse dans le paradis des écritures ; la méditation, comme l'abeille, aspire à leur douceur. Les promesses ne sont d'aucune utilité ni confort pour nous, jusqu'à ce qu'elles soient médités. Les roses suspendues dans le jardin peuvent donner un parfum parfumé, pourtant leur eau douce n'est distillée que par le feu. Juste comme cela, les promesses sont certes douces dans la lecture, mais l'eau de ces roses, et la quintessence des promesses, ne sont distillées dans l'âme que par la méditation. L'encens, lorsqu'il est martelé et battu, sent d'un parfum des plus doux. Méditer sur une promesse, comme le battement de l'encens, la rend de fait plus parfumée et agréable. Les promesses peuvent être comparées à une mine d'or, qui ne s'enrichit que lorsque l'or est creusé. Par la Sainte méditation, nous creusons cet or spirituel qui se cache au milieu de la promesse, et donc nous venons à être enrichis.
Thomas Watson
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