"Notre Père qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié" (Matthieu 6:9). Cette requête condamne bien plus que le langage profane. Chaque fois que nous introduisons le nom divin dans notre discours de manière inutile et insignifiante - quand nous l'employons pour tourner une phrase, ou donner de l'importance à une déclaration, ou souligner une anecdote - quand nous faisons de la Parole divine le sujet de plaisanteries, en faisant des jeux de mots sur les vérités solennelles de la Révélation, et en citant l'Écriture avec des adaptations ridicules pour provoquer l'hilarité. Et même lorsque nous prenons ce grand nom sur nos lèvres dans le culte sans nous efforcer de ressentir l'hommage qu'il exige, nous violons l'esprit de cette prière.
Newman Hall, Meditations on the Lord's Prayer.
“Our Father in Heaven, hallowed be Your name” (Matthew 6:9). This petition condemns much more than profane language. Whenever we introduce the Divine name in our speech uselessly and triflingly – when we employ it to turn a sentence, or give emphasis to a statement, or point to an anecdote – when we make the Divine Word the subject-matter of jokes, punning on solemn truths of Revelation, and quoting Scripture with ludicrous adaptations to provoke mirth. And even when we take this great name on our lips in worship without any endeavor to feel the homage it demands, we violate the spirit of this prayer.
Newman Hall, Meditations on the Lord's Prayer.
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