Chaque jour la puissance de l’Esprit fait vivre Jésus dans le chrétien. Il voit sans regret décliner son corps et ses facultés, car sa foi salue la gloire à venir et en connaît comme l’avant-goût. Le regard de l’âme se détourne des choses qui se voient pour s’arrêter sur celles qui sont invisibles et éternelles. Le chrétien attend du ciel son Sauveur, qui le revêtira d’un corps glorieux, même si son corps passe par la mort. Tout ce qui est mortel aura alors été “absorbé par la vie” (2 Corinthiens 5. 4).
Auteur inconnu
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