J'ai observé que lorsque l'un d'entre nous se lance dans la poursuite du bonheur pour lui-même, il nous échappe. Je me suis souvent demandé pourquoi. Ce doit être parce que le bonheur ne nous vient que comme un dividende. Lorsque nous sommes absorbés par quelque chose d'exigeant et d'utile, au-delà de nous-mêmes, le bonheur semble être là comme un sous-produit du don de soi. Cela ne devrait pas être une vérité surprenante, mais je suis surpris de voir combien peu de gens le comprennent et l'acceptent. Avons-nous fait un dieu du bonheur ?
Catherine Marshall
I have observed that when any of us embarks on the pursuit of happiness for ourselves, it eludes us. Often I've asked myself why. It must be because happiness comes to us only as a dividend. When we become absorbed in something demanding and worthwhile above and beyond ourselves, happiness seems to be there as a by-product of the self-giving. That should not be a startling truth, yet I'm surprised by how few people understand and accept it. Have we made a god of happiness?
Catherine Marshall
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