Mais il est beaucoup plus commun pour le prédicateur évangélique d'éditer la Parole de Dieu : 1. En retirant le texte de son contexte, et en l'utilisant pour dire ce qui plaît au prédicateur, 2. En moralisant le texte, de sorte qu'il est réduit à une maxime éthique qui fits n'importe quelle religion, 3. En utilisant le texte pour promouvoir des chevaux de bataille, et 4. En insistant dogmatiquement sur le fait que le texte dit des choses qu'il ne dit pas vraiment. Ce hocus-pocus homilétique a des racines subtiles comme le désir d'être intelligent et populaire ou synthétiquement pertinent ou intellectuellement respectable ou de rendre l'évangile plus acceptable. Mais le plus souvent, la Parole de Dieu est diluée par la paresse du prédicateur. Il ne veut tout simplement pas faire le dur travail d'engager et de prêcher un texte dans son contexte.
Kent Hughes, 2 Corinthiens, 2006, p. 84.
But it is far more common for the evangelical preacher to edit God’s Word: 1. By removing the text from its context, and using it to say what-ever the preacher likes, 2. By moralizing the text, so that it is reduced to an ethical maxim that fits any religion, 3. By using the text to promote hobby-horses, and 4. By dogmatic insistence that the text says things it does not truly say. This homiletical hocus-pocus has subtle roots such as the desire to be clever and popular or synthetically relevant or intellectually respectable or to make the gospel more acceptable. But most often God’s Word gets watered down by the preacher’s laziness. He simply will not do the hard work to engage and preach a text in its context.
Kent Hughes, 2 Corinthians, 2006, p. 84.
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