Le véritable appel de Dieu n'est pas un appel à un certain endroit ou à une certaine carrière, mais un appel à l'obéissance quotidienne. Ensuite, à mesure que nous suivons son appel quotidien, il ouvre des portes là où il veut que nous allions et ferme des portes là où il ne veut pas que nous allions. De cette façon, la fidélité à l'appel de Dieu est à notre portée chaque jour.
En revanche, si nous nous demandons avec angoisse si nous avons reçu un appel spécial, nous perdons un temps et une énergie précieux et, de fait, nous limitons l'action de Dieu dans nos vies. Lorsque les gens me demandent s'ils doivent se lancer dans un ministère à plein temps au sens traditionnel du terme, je les décourage presque toujours. Je leur dis de se consacrer à Jésus de toute leur vie et de ne chercher à exercer un ministère à plein temps qu'en dernier recours.
Comment nous préparer à répondre à cet appel ? Une partie de la préparation est le fait de Dieu, et une partie doit être le nôtre. La préparation de Dieu à notre égard a commencé bien avant que nous décidions d'accepter son appel. En fait, Dieu a utilisé tous les événements et toutes les expériences de notre vie pour nous préparer au type de service auquel il nous appelle maintenant. Que notre passé ait été heureux ou triste, pieux ou sordide, Dieu s'appuie sur cette expérience pour faire de nous des serviteurs efficaces pour Lui.
Il se peut que toute une vie de préparation soit nécessaire pour une minute de service suprême. Dans le cas de Jean le Baptiste, Dieu a utilisé toute sa vie pour le préparer au moment où il a vu la silhouette solitaire de Jésus s'approcher dans le désert. Il a cessé de baptiser et d'enseigner, a pointé son doigt et a dit : "Regarde, l'Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde !" (Jean 1:29 NIV). Quel moment électrisant dans l'histoire, la première fois que Jésus a été présenté au monde comme l'Agneau de Dieu.
Frère André
The real calling of God is not to a certain place or career, but to everyday obedience. Then, as we follow His everyday call, He opens doors to where He wants us to go and closes doors to where He does not want us to go. That way, faithfulness to God’s calling is within our reach every day.
On the other hand, if we agonize over whether we have received a special call, we waste valuable time and energy and, in effect, limit the work of God in our lives. When people ask me whether they should go into full-time ministry in the traditional sense, I almost always discourage them. I tell them to fol« low Jesus with their whole lives and pursue full-time ministry only as a last resort.
How do we prepare to respond to that call? Part of the preparation is God’s doing, and part of it must be ours. God’s preparation of us began long before we decided to accept His call. The fact is, God has been using all of the events and experiences of our lives to prepare us for the kind of service He’s calling us to now. Whether our past was happy or sad, godly or sordid, God is building on that experience to make us into effective servants for Him.
It may take an entire lifetime of preparation for one minute of supreme service. In the case of John the Baptist, God used his whole life to prepare him for the moment when he saw the lone figure of Jesus approaching in the desert. He stopped baptizing and teaching, pointed his finger, and said, “Look, the Lamb of God, who takes away the sin of the world!” (John 1:29 NIV). What an electrifying moment in history, the first time Jesus was introduced to the world as the Lamb of God.
Brother Andrew