Je connais la souffrance et la douleur que la maladie entraîne. J'admets la misère et le malheur qu'elle entraîne souvent dans son sillage. Mais je ne peux pas la considérer comme un mal sans mélange. Je vois en elle une sage permission de Dieu. Je vois en elle une disposition utile pour freiner les ravages du péché et du diable dans l'âme des hommes. Si l'homme n'avait jamais péché, j'aurais été bien en peine de discerner le bienfait de la maladie. Mais depuis que le péché est dans le monde, je peux voir que la maladie est un bien. Elle est une bénédiction tout autant qu'une malédiction. Elle est un rude maître d'école, je l'admets. Mais c'est un véritable ami de l'âme humaine.
J.C. Ryle
I know the suffering and pain which sickness entails. I admit the misery and wretchedness which it often brings in its train. But I cannot regard it as an unmixed evil. I see in it a wise permission of God. I see in it a useful provision to check the ravages of sin and the devil among men’s souls. If man had never sinned I should have been at a loss to discern the benefit of sickness. But since sin is in the world, I can see that sickness is a good. It is a blessing quite as much as a curse. It is a rough schoolmaster, I grant. But it is a real friend to man’s soul.
J.C. Ryle
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