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mercredi 10 janvier 2001

Ceux qui sont agréables à Dieu


Ceux qui sont agréables à Dieu témoignent avec le collecteur d'impôts pénitent dans le Temple : "Dieu, sois miséricordieux envers moi, le pécheur !" (Luc 18,13). Augustin a supplié : "Seigneur, sauve-moi de ce méchant homme, moi-même". John Knox, peut-être le plus grand prédicateur de l'histoire de l'Écosse, a confessé : "Dans ma jeunesse, dans mon âge mûr et maintenant, après de nombreuses batailles, je ne trouve en moi que de la corruption." John Wesley a écrit : "Je suis déchu de la gloire de Dieu, mon cœur tout entier est corrompu et abominable, et par conséquent toute ma vie étant un arbre mauvais ne peut donner de bons fruits." Son frère Charles, qui a écrit tant de grands hymnes, a confessé : "Je suis vil et plein de péchés." Augustus Toplady, qui a écrit l'hymne bien-aimé "Rock of Ages", a dit de lui-même : "Oh, qu'un misérable comme moi soit jamais tenté d'avoir une haute opinion de lui-même. Je ne suis moi-même que péché et faiblesse, dans la chair duquel n'habite naturellement aucun bien."

John MacArthur, Matthieu 8-15, Moody Publishers, 1985, p. 58.

Those who are pleasing to God testify with the penitent tax-collector in the Temple: “God, be merciful to me, the sinner!” (Luke 18:13). Augustine pleaded, “Lord, save me from that wicked man, myself.” John Knox, perhaps the greatest preacher in the history of Scotland, confessed, “In youth, in middle age and now after many battles, I find nothing in me but corruption.” John Wesley wrote, “I am fallen short of the glory of God, my whole heart is altogether corrupt and abominable, and consequently my whole life being an evil tree cannot bring forth good fruit.” His brother Charles, who penned so many great hymns, confessed, “Vile and full of sin I am.” Augustus Toplady, who wrote the beloved hymn “Rock of Ages,” said of himself, “Oh, that such a wretch as I should ever be tempted to think highly of himself. I am myself nothing but sin and weakness, in whose flesh naturally dwells no good thing.”

John MacArthur, Matthew 8-15, Moody Publishers, 1985, p. 58.

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